Les oranges de l’enfance
Tu es le numéro 5 sur 7, ou le numéro 6 sur 8
Si tu comptes tous les anges, tu le sais, la mort ne pouvait pas attendre
Elle est la numéro 1 sur 5, Sacrifice est son nom
Et Solitude est le premier et le dernier, dans ce jeu.
Une odeur d’orange, celle de ton enfance,
la nostalgie comme refuge
Ta mémoire effacée et ton monde perdu,
Un sourire sur ton visage quand tu danses seul
Ma sensation de transparence quand Souffrance est aux commandes
Ce que tu vois, c’est l’Indifférence : ça arrive si souvent
J’ai l’habitude de tes rires feints alors que tes yeux sont si tristes
Une odeur d’orange, celle de ton enfance,
la nostalgie comme refuge
Ta mémoire effacée et ton monde perdu
la nostalgie comme refuge
Une odeur d’orange, celle de ton enfance,
la nostalgie comme refuge
Ta mémoire effacée et ton monde perdu
Un sourire et une danse solitaire
Elle dit « Tu peux tomber, mais jamais je ne te laisserai…
Je pourrais suivre, mais jamais je ne te laisserai”
Quand Souffrance laisse Sacrifice,
avec Solitude
La passion est devenue folie
et l’amour, égoïsme
Elle dit « Je pourrais sombrer, mais jamais je ne te laisserai…
Je pourrais suivre, mais jamais je ne te laisserai”
Ne me laisse jamais, ne me laisse plus jamais
Une odeur d’orange, celle de ton enfance,
la nostalgie comme refuge…
Ta passion pour la vie
Devint maladie mentale
Plus de courage
Ce qui reste n’est que douleur.
DOULEUR !
Paroles : Vicente Negre
Musique : Pierre Pétriacq/Vicente Negre/Antoine Kerninon/Benoît Guivarch
V. Negre : Voix
P. Pétriacq : Programmations
A. Kerninon : Synthés & Programmations
B. Guivarch : Synthés & Programmations
Enregistré @ Plaza de las Fiestas, BAAB’s Home Studio (Paris), excepté les hmmmmm, @ labuanderie – Chez ĘdB (Paris)